Classement Européen de l'Innovation 2011: la France 'suiveur'...
La France est placée dans les 'suiveurs'...
Utilisez les solutions convergentes informatique-télécom-sécurité-réseau pour développer dès demain l'efficacité, la performance, la productivité de votre entreprise et vous différencier de vos concurrents !
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Philippe Limantour
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Libellés : europe, innovation
Le titre de cet article est ni plus ni moins que la traduction du titre d'un rapport qui vient de sortir, commandé au département d'économie et organisation des entreprises de l'université de Barcelone, par la FECYT, la fondation espagnole pour la science et la technologie du ministère de la science et de l'innovation et par la fondation I+E qui regroupe sept multinationales engagées dans le développement des investissements en R&D et innovation en Espagne.
Ce rapport en espagnol, disponible gratuitement sur Internet [1], nous a semblé intéressant à faire connaître. Nous en faisons un résumé à grands traits.
Plus de 95% des 700 entreprises qui investissent le plus en R&D de par le monde sont des multinationales qui dépensent plus de la moitié du montant mondial total investi. Celles-ci réalisent de plus en plus ces investissements dans des pays autres que celui de leur siège social, ce qui leur confère un poids de plus en plus important dans les réalités nationales de la R&D. Compte tenu de la très forte valeur ajoutée générée par ce genre d'activité et des externalités générées, il est donc important pour un pays de pouvoir être attractif vis à vis de tels investissements.
Ce rapport a donc pour but de faire le point sur l'attractivité espagnole en la matière. Le travail réalisé est avant tout de type qualitatif, à partir d'une étude de cas, sept en l'occurrence, correspondant aux sept multinationales qui ont créé la fondation I+E : Alstom, ArcelorMittal, Ericsson, Hero, Hewlett-Packard, Sony et Thyssen Krupp Elevator, qui totalisent à elles sept, 40.000 employés, 11 milliards d'euros de chiffre d'affaire et 200 millions d'euros investis chaque année en R&D. Nous avions déjà eu l'occasion de parler de cette fondation lorsque celle-ci avait fait paraître un rapport sur le rôle des multinationales dans le financement de la R&D [2].
Le rapport reprend quelques chiffres de la dernière enquête réalisée en 2009 par l'INE, l'équivalent espagnol de l'INSEE, sur l'innovation technologique : en 2007, les dépenses en innovation étaient réalisées en Espagne à 39% par des filiales de multinationales qui employaient 24% du personnel de R&D. Quant aux dépenses moyennes par entreprise, les filiales dépensaient 4 fois plus que les entreprises espagnoles et elles employaient deux fois plus de personnel de R&D.
Pour ce qui est du travail réalisé par les quatre auteures du rapport, Paloma Miravitlles Matamoros, Laura Guitart Tarrés, Fariza Achcaoucaou Iallouchen et Ana Núñez Carballosa, il peut être résumé par un extrait d'un des tableaux proposés. Ce tableau présente les caractéristiques des facteurs d'attraction et de maintien des centres de R&D et d'innovation telles que les voient les sept multinationales impliquées dans l'étude : 26 facteurs identifiés, classés en trois catégories (importance forte, modérée ou faible) et pour chacun d'eux, l'adaptation de l'Espagne (+ : forte ; 0 : ni forte ni faible ; - : faible).
Dans leurs conclusions, les chercheuses remarquent la capacité d'attraction de l'Espagne concernant les facteurs liés au marché mais un moindre pouvoir d'attractivité sur les facteurs qui ont à voir avec l'offre technologique.
Pour elles, dans la compétition pour attirer la R&D et l'innovation internationales, ces résultats situent l'Espagne dans une position intermédiaire qui fait courir au pays le risque d'être dépassé par les économies émergeantes qui passent d'une stratégie de développement basée sur l'attractivité de leurs coûts, à une stratégie intégrant la qualité de l'offre technologique. Le défi d'un pays comme l'Espagne est donc de renforcer ses atouts : améliorer la capacité d'attirer et garder les talents scientifiques et techniques formés en Espagne, développer la présence de centres de recherche performants et renforcer les liens entre le monde scientifique et académique et le monde de l'entreprise. Une deuxième ligne d'action est également suggérée : maintenir compétitif le coût du personnel de recherche, poursuivre le développement de la maîtrise des langues étrangères et le développement de la mobilité des chercheurs, consolider les clusters. Enfin, les incitations fiscales et financières doivent être maintenues et adaptées aux besoins des multinationales.
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Libellés : compétitivité, europe, innovation, recherche
Selon le Centre for Economics and Business Research dans son rapport "Cloud dividend 2011", le cloud computing pourrait rapporter plus de 177 milliards par an aux principales économies européennes et créer plus de deux millions d'emplois.
L’apport économique annuel du cloud computing d’ici à 2015 se répartit de la manière suivante entre les pays :
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Libellés : cloud computing, europe, fracture, france, productivité, rentabilité
La Commission européenne ( CE) procède, du 8 novembre 2010 au 4 février 2011, à une consultation publique sur le programme qui devra succéder au programme-cadre 2007-2013 pour la compétitivité et l'innovation ( PIC), selon une déclaration publiée jeudi à Bruxelles par la CE.
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Libellés : europe, innovation, pme
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Libellés : compétitivité, developpement, europe, financement, green it, internet
L'étude qui vient d'être publiée par Colt et menée auprès de plus de 350 Directeurs des Systèmes d'Informations de 5 pays Européens montrent que l'intérêt de ces décideurs pour le Cloud Computing a augmenté de 20% dans les 7 derniers mois !
Plus de 68% d'entre eux déclarent désormais bien comprendre et connaître les solutions de Cloud Computing (77% au Royaume Uni, 75% en Allemagne, 71% en France, 66% en Italie, et 58% en Espagne).
86% pensent que le cloud computing va s'affirmer, dans les deux à trois prochaines années, comme la solution de gestion informatique a plus répandue. La flexibilité arrive désormais en tête des critères devant la réduction des coûts; la principale préoccupation est d'accompagner l'innovation (66% des DSI de grands comptes). En France 8 sur 10 pensent cependant que la réduction des coûts reste la première étape...
La sécurité reste également en tête de 71% des DSI.
En France 3 DSI sur 4 déclarent qu'ils consacreront 40% de leur budget IT à des solutions Cloud Computing.
http://bit.ly/cxrnfK
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Libellés : cloud computing, compétitivité, développement durable, disponibilité, europe, france, gouvernance, green it, productivité, SaaS, sécurité
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Libellés : communication, europe, fracture, internet, nomadisme, SaaS
B2B Europages et OpinionWay ont mené une étude au plus profond de la crise (août 2009 - octobre 2009) sur l'évolution des outils de promotion des PME européennes.
Loin devant les catalogues, les dépliants et le marketing direct le site internet devient le plus utilisé, notamment pour promouvoir son activité à l'étranger. La crise a favorisé la croissance de la publicité sur Internet (44% des PME ont augmenté son utilisation), contrairement aux supports presse, radio, ou télévision (réduction pour 40% des acteurs en moyenne). Les salons avec stand sont également moins utilisés (réduction pour 36% des acteurs).
En tête des outils de promotion privilégiés figurent le référencement naturel (36%), l'e-mailing (24%), le référencement payant et la vente en ligne (10%).
Source: Journal Du Net
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Libellés : compétitivité, europe, internet, marketing, pme, productivité
Le secrétaire d'Etat parlementaire au ministère de l'économie et de la technologie (BMWi), Ernst Burgbacher, a inauguré aujourd'hui le centre d'innovation Theseus à Berlin. L'objectif du programme de recherche Theseus [1] est de développer et de tester des nouvelles technologies pour l'Internet des services, comme par exemple la coordination de services de sécurité informatique. Il est soutenu par le BMWi à hauteur de 100 millions d'euros.
Ernst Burgbacher résume les grandes idées du centre d'innovation : "Le centre d'innovation Theseus est une grande avancée vers l'avenir. Nous donnons les moyens de rendre les résultats de recherche plus visibles et optimisons leur diffusion. Nous voulons engager les discussions avec l'industrie dès les premières phases de développement. Le gouvernement affiche clairement son objectif de réduire le fossé entre la recherche et la mise sur le marché de produits innovants."
Parmi les nouvelles technologies, développées dans le cadre du programme Theseus pour l'Internet des services, figurent le Web sémantique dont le but est d'interpréter et de traiter de façon autonome et automatique les informations issues d'Internet. Mais également les technologies du Cloud Computing (Informatique dans les nuages) qui visent à virtualiser les infrastructures IT, les logiciels ou les espaces de stockage et à les rendre accessibles à l'aide d'une simple connexion Internet haut-débit.
Le centre d'innovation Theseus, doté d'une surface de 500 mètres carrés dans le quartier de Tiergarten, accueillera des Workshops et des conférences réunissant des économistes, des scientifiques, des politiques et des acteurs de l'industrie. Un Espace Innovation est mis à la disposition des créateurs d'entreprises qui souhaitent effectuer des recherches, expérimenter des idées innovantes ou mener à bien des études marketing.
- Dr. Gudrun Quandel, Fraunhofer Heinrich-Hertz-Institut - tél : +49 (0) 30 31002 400 - email : gudrun.quandel@hhi.fraunhofer.de
- [1] Site Internet du programme Theseus : http://www.theseus-programm.de/default.aspx
- "THESEUS : les outils pour l'Internet des services", BE Allemagne 426 - 04/03/2009 - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/58043.htm
- "Technologies pour l'Internet des services - 1er symposium international pour le programme de recherche THESEUS", BE Allemagne 440 - 10/06/2009 - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59461.htm
Source: "Zukunft zum Anfassen: Burgbacher eröffnet THESEUS-Innovationszentrum", communiqué de presse du BMWi - 14/06/2010 - http://redirectix.bulletins-electroniques.com/VOtej
Origine : BE Allemagne numéro 487 (17/06/2010) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/63696.htm
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Libellés : cloud computing, europe, innovation, internet, SaaS, web 2.0
La présidence espagnole de l'Union Européenne qui s'achève fin juin a lancé l'opération "14 défis pour 2030". Il s'agit de proposer aux citoyens européens 14 défis scientifiques à relever et de leur demander de voter pour l'un d'eux. Le "gagnant" sera mis à l'ordre du jour des 27 ministres des sciences.
Le vote clos le 31 mai ne sera donc plus possible au moment où vous lirez ces lignes mais il est toujours intéressant de regarder les défis proposés et le choix des 107 309 personnes qui ont voté. Chaque défi est présenté et défendu par une personnalité via une vidéo que l'on peut regarder sur le site créé pour l'occasion [1].
On relèvera ici ceux défendus par des Espagnols, 7 sur 14, présidence oblige... :
- Ferran Adrià, le célèbre chef : que l'alimentation et la santé soient obligatoirement enseignées à l'école.
- Paulina Beato, économiste : que l'électricité soit stockable, notamment celle produite par les énergies renouvelables.
- Anna Cabré i Pla, géographe : que soit conçu un système public de protection sociale suffisant et durable, qui ne conduise pas à un accroissement de la population.
- Juan Ignacio Cirac, physicien, spécialiste d'optique quantique : que les théories quantique et relativiste de la physique soient unifiées.
- Rafael Matesanz, le père du système de don d'organe espagnol : que les organes puissent être substitués par des organes artificiels ou fabriqués à partir des cellules souches.
- Margarita Salas, biochimiste [2] : que chaque patient ait son profil génétique permettant d'élaborer les traitements personnalisés qu'il nécessite.
- Javier Tejada, physicien, spécialiste de magnétisme quantique : que nous puissions disposer de tous les robots nécessaires pour nous aider à vivre mieux et conquérir l'espace.
Résultats : aucun des 14 défis ne se détache vraiment des autres. Ils ont tous obtenu entre 4 et 9% des voix sauf trois qui ont dépassé la barre des 10% : les robots défendus par Javier Tejada (12%), les organes artificiels défendus par Rafael Matesanz (13%) et le stockage de l'électricité soutenu par Paulino Beato (14%). Un podium 100% espagnol donc !
- [1] Site des 14 défis : http://www.reto2030.eu/
- [2] Portrait de Margarita Salas dans le rapport "La Biomédecine en Espagne : état des lieux d'un secteur en plein essor", décembre 2009, téléchargeable gratuitement :
* En français : http://www.bulletins-electroniques.com/rapports/smm09_075.htm
* En espagnol : http://www.bulletins-electroniques.com/rapports/smm09_075_ES.htm
Source : El Pais du 28 avril 2010
Origine : BE Espagne numéro 94 (31/05/2010) - Ambassade de France en Espagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/63509.htm
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Libellés : europe, innovation
Selon PowerBoutique le nombre de sites e-commerce a augmenté de 31% l'an dernier en moyenne avec des disparités régionales fortes : +49% en Aquitaine et +17% en Pays de Loire par exemple, mais qui reflètent sans doute d'avantage un phénomène de rattrapage.
Le chiffre d'affaires e-commerce des TPME-PME s'est ainsi accru de 29% en moyenne par site. 70% des sites exportent leurs produit pour un chiffre d'affaires représentant 11% du total généré par le site, 55% des exports sont réalisés à l'intérieur de l'Union Européenne.
« Les résultats de cette grande enquête montrent que le succès du e-commerce ne concerne pas que les grands comptes » note Stéphane Escoffier, Directeur Général de la société Doyousoft, éditrice de la solution PowerBoutique. « Les TPE-PME mesurent les bénéfices du e-commerce à leur propre échelle. Faisant preuve de beaucoup plus de pragmatisme que les grands comptes, elles voient dans l’e-commerce une source conséquente de revenus complémentaires, constituant parfois un moyen de survie, particulièrement en période de crise. Par ailleurs, les PME françaises sont en train de rattraper leur retard en équipement de site internet par rapport aux autres pays européens, sous l’impulsion notamment du renouvellement générationnel des marchands ; le potentiel de croissance du e-commerce pour les PME est donc loin d’avoir atteint ses limites : il est encore temps de se lancer ! ».
Si vous n'êtes pas encore équipé d'une solution, regardez celle proposée par la société OCTAVE Informatique, qui vous permet de piloter votre site e-commerce depuis une solution de gestion commerciale, le tout en mode SaaS !
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Libellés : changement, compétitivité, croissance, developpement, europe, france, internet, marché, SaaS
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Libellés : cloud computing, écologie, économie, énergie, europe, internet, marché, virtualisation
Et non malheureusement il ne s'agit pas d'une initiative du gouvernement Français...
mais celle du président Obama et de l'administration américaine qui a développé un AppStore en quelques mois seulement ! Le gouvernement Français serait bien inspiré de faire la même chose dans un effort de contribution à la modernisation des systèmes d'informations de nos sociétés, d'économie du budget IT de l'état, et d'orientation écologique!
Le portail applicatif américain propose aux différentes agences de consommer des applications en mode SaaS. C'est une initiative majeure. Si seulement elle pouvait être suivie d'une même dynamique Française cela donnerait l'étincelle qui manque encore pour embraser et développer massivement le marché de l'abonnement SaaS à des bouquets applicatifs. Dans le contexte d'un plan massif de relance de l'économie c'est une mesure majeure que les Etats Unis ont su décider et mettre en œuvre en quelques mois! Combien de temps faudra-t-il au gouvernement Français pour s'en apercevoir, lancer des commissions pour savoir quelle commission pourrait ensuite y réfléchir, puis passer la main aux suivants après avoir fait quelques coups médiatiques...
Allons, gouvernements Européens, réagissez et unissez-vous pour déployer d'ici quelques mois un portail applicatif Européen! Nous avons les technologies, le savoir-faire, et le besoin d'une telle initiative !
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Libellés : europe, fracture, france, gouvernance, SaaS
Selon une étude Européenne réalisée par Yseo avec Ciao Surveys auprès de 3600 internautes et que vient de publier l'Observatoire e-Performance les sites de e-commerce ont encore du pain sur la planche :
Les internautes apprécient :
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Libellés : europe, internet, marché, marketing 2.0, services
D'après le cabinet Frost & Sullivan les ventes de téléphones IP ont augmenté de 14,3 %, contre une baisse de 3 % pour les combinés classiques.
C'est une tendance globale Européenne, la France étant encore à la traîne.
L'augmentation de la vente des combinés IP démontre que d'avantage d'utilisateurs en entreprise sont reliés en 'Full IP', c'est-à-dire que leur système téléphonique utilise un réseau informatique interne. La très grande majorité des systèmes installés travaille en cablage traditionnel en interne, et de plus en plus souvent en IP en externe, afin de bénéficier de tarifs de dégroupage plus avantageux.
Ce chiffre en augmentation est aussi à relativiser car plusieurs très grandes entreprises ont ainsi basculé en 'Full IP' en 2007, ce qui représente un grand nombre de téléphones IP. Ce n'est pas l'augmentation du nombre de téléphones IP qui est donc interessante à suivre mais celle du nombre de sociétés en full IP.
Le fait que ce ne soit pas ce dernier chiffre qui ressort des études tendrait-il à montrer que ces études sont financées par les constructeurs qui cherchent des annonces pour faire croire que tout le monde y va ? A défaut de réels arguments et bénéfices utilisateurs...
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Libellés : actualité, changement, communication, convergence, disponibilité, économie, europe, france, hardware, industrie, informations, marché, marketing, opérateurs, voip
Le Comité de réglementation sur l'écoconception, auquel participent les 27 pays membres de l'Union européenne (UE), a approuvé une proposition de règlement de la Commission européenne, qui vise à réduire « la consommation d'électricité, en mode veille, des appareils électroménagers et des équipements de bureau, au rang desquels les téléviseurs, les ordinateurs, les fours à micro-ondes, etc. de 75% d'ici 2020».
Souvenez-vous de mon article sur l'économie d'énergie annuelle de 750Mw si l'écran d'accueil de la page de recherche Google était noir et non blanc...
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Les opérateurs européens de téléphonie mobile ont franchi le cap de 100 millions d'abonnés à des services de troisième génération (3G), montre une étude publiée par le cabinet Informa Telecoms and Media.
Source REUTERS
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Libellés : europe, mobilité, nomadisme, opérateurs
Un sondage publié par la Commission Européenne indique qu'un ménage sur quatre a renoncé au téléphone fixe, ils étaient 18% fin 2005...
"Dans beaucoup de pays il y a un service très attractif de téléphonie mobile", explique Martin Selmayr, porte-parole de la Commission pour les questions de télécoms. "Il est plus facile et plus efficace d'accéder à un service de téléphonie mobile" qu'à un numéro fixe.
Ils sont 64% en Bulgarie, 39% en moyenne dans les pays de l'est Européen, contre 20% dans les 15 premiers pays de l'UE.
« D'ici à trois ans, je souhaite que s'installent une plus grande cohérence et une meilleure coordination afin de faire baisser les coûts des appels mobiles d'environ 70 % par rapport à leur niveau actuel », a déclaré Viviane Reding, la commissaire européenne chargée des médias et de l'information.
La tendance est également à l'utilisation du téléphone mobile dans les TPE et PME. Le seul frein à son développement exponentiel reste le coût des communications. Un mobile permet également de synchroniser automatiquement ses mails et surtout son calendrier pour être certain de pouvoir toujours répondre à une sollicitation de rendez-vous d'un prospect, même en déplacement !:)
La Commission a publié vendredi une autre étude, commandée à la société spécialisée Connect2Roam, qui montre une croissance beaucoup plus soutenue de l'internet mobile à l'intérieur des frontières d'un pays, que lors des déplacements à l'étranger.
L'étude invoque le manque d'offres attractives des opérateurs. "Les consommateurs ne connaissent pas bien les prix" s'ils se servent de l'internet mobile à l'étranger et sont donc "très prudents", estime-t-elle.
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Libellés : actualité, changement, communication, économie, europe, marché, mobilité, nomadisme, opérateurs
Le nouveau brevet Européen est entré en vigueur ! Plus besoin de faire traduire les 25 pages de demande de brevet en trois langues, ce qui devrait vous permettre d'économiser environ 30% sur le dépôt de brevet.
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Libellés : europe, innovation, législation, propriété intellectuelle
C'est l'objectif que s'est fixé "Aspire", un projet européen lancé en janvier dernier. Doté d'une contribution européenne de 4,7 millions d'euros sur trois ans, celui-ci associe une dizaine de partenaires dont l'UAEPME (Union Européenne de l'Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises), une association qui regroupe plus de douze millions de PME. Deux équipes de l'Inria y participent, l'équipe-projet "Pops" de Lille et l'équipe de développement OW@INRIA de Grenoble. A l'origine de ce projet, un constat : la technologie RFID (Radio Frequency IDentification), de plus en plus répandue au sein des grands groupes, peine à se déployer auprès des PME, la raison essentielle étant son coût qui reste élevé. Les petites et moyennes entreprises craignent également de ne pas être en mesure de gérer ce dispositif complexe.
C'est dans ce contexte qu'a été proposé "Aspire", ce projet s'étant orienté aussitôt dans la mise au point d'un intergiciel, c'est-à-dire un logiciel servant d'intermédiaire de communication entre plusieurs applications, qui soit à la fois innovant, d'un coût peu élevé, extensible, libre de droits, léger et sécurisé. Qui plus est, afin de faciliter son utilisation, le dispositif développé devra être capable de s'adapter de lui-même aux valeurs fournies en entrée, variables selon la version de RFID de chaque entreprise, et paramétrables quelle que soit l'application visée.
Source : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54318.htm
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