mercredi 30 septembre 2009

Un brevet génial de Microsoft pour faciliter l'utilisation de sa nouvelle tablette tactile courier

Les PC sous forme de tablettes tactiles vont révolutionner l'usage de l'informatique. Leur capacité de connection internet, couplées avec des abonnements de logiciels sous forme SaaS ( Software-As-A-Service) ont font un outil idéal pour le nomadisme.


Microsoft, avec sa nouvelle tablette courier dont vous pouvez voir une vidéo donnant une bonne idée de ses capacités grâce à son double écran, va encore plus loin.

Microsoft a inventé un dispositif permettant de faciliter la saisie multi-touch (plusieurs doigts à la fois) sur le clavier virtuel de la tablette, et un brevet vient protéger cette innovation majeure.

Le système est conçu pour adapter la position des touches du clavier virtuel automatiquement en fonction de la position de chaque main de l'utilisateur. Vous retrouvez ainsi les positions et espacements dont vous avez l'habitude sur un clavier physique, ce qui vous permettra de saisir efficacement et rapidement des textes.

mercredi 23 septembre 2009

En espérant que vous n'avez pas créé de documents avec Google Docs, sinon vous risquez de les retrouver sur le moteur de recherche google...

Google dans les forums consacrés à Google Docs a annoncé que d'ici deux semaines les documents créés avec Google Docs seront indexés, les résultants étant donc visibles dans les moteurs de recherche...

« Ceci ne sera appliqué qu'aux documents que vous aurez explicitement rendus publics », nuance Google.

Des utilisateurs objectent que si certains documents sont associés à des chemins web - URL - accessibles alors ils seront indexés de toute manière.

Et à quoi servira cette solution si la seule manière de garder la confidentialité sur vos documents... est d'être seul(e) à pouvoir les consulter, sans pouvoir les partager... ?

mardi 22 septembre 2009

Les dirigeants de TPE plebiscitent internet comme média d'information

Internet serait le deuxième média d’information (44%) des dirigeants de TPE, juste derrière la télévision (59%), selon le 35ème édition du Baromètre des TPE réalisée par l’IFOP pour Fiducial.

“Parmi les deux supports suivants, quel est celui que vous préférez pour vous informer ?” :

  1. “la presse papier, c’est à dire les journaux et les magazines imprimés” (40%)
  2. la presse en ligne : c’est à dire les sites internet d’information” (20%),
  3. “autant l’une que l’autre” (40%)
73% des patrons de TPE s’y connectent régulièrement (39% “plusieurs fois par jour”, 34% “tous les jours ou presque”).

Les dirigeants de TPE privilégient :
  • les portails d’information des moteurs de recherche (48% le faisant quotidiennement
  • les sites professionnels traitant de leur métier (28% les consultant tous les jours et 23% plusieurs fois par semaine).
41% des dirigeants consultent régulièrement les sites de leurs clients et/ou fournisseurs.

Méthodologie de l’étude : Compte-rendu de l’enquête conduite par l’IFOP pour le compte de Fiducial réalisée par téléphone du 9 au 22 juillet 2009, auprès d’un échantillon représentatif de 1 005 dirigeants de TPE, de 0 à 19 salariés. “Les résultats ont été redressés selon les données de l’INSEE” au nom d’une “meilleure représentativité de cette composante du tissu économique français”.

vendredi 18 septembre 2009

Des Nuages (Cloud Computing) pour réduire les dépenses informatiques du gouvernement

L'une des tâches du Directeur des systèmes d'information (DSI) de l'administration américaine, Vivek Kundra, est de réduire les coûts liés à l'informatique dans le budget du pays. A l'occasion d'une conférence au centre de recherche de la NASA mardi dernier, Vivek Kundra a estimé à 76 milliards de dollars le budget IT du gouvernement fédéral, dont 19 milliards consacrés à l'infrastructure. En ligne de mire la construction successive de nouveaux centres de données (faisant doubler la facture énergétique entre 2006 et 2008). Le département américain de la sécurité nationale en dispose à lui seul de 23.

Une des solutions proposées par Kundra est le Cloud Computing (l'image du "nuage" s'installe dans le vocabulaire de l'informatique). Une approche qui permettrait ainsi pour le cas précis du projet informatique du General Services Administration de ramener la facture de 2,5 millions de dollars par an à 800.000 dollars. Suite à cette initiative un site Web, http://www.apps.gov, a été mis à disposition. Son principe est de fournir aux agences gouvernementales, différents services IT, des capacités informatiques comme des serveurs virtuels de stockage et des applications à la demande.

A l'heure actuelle la rubrique Cloud Computing n'est pas encore achevée. Mais quatre services "cloud" apparaissent déjà et devraient être disponibles prochainement. Un service de stockage, des outils de développement de logiciel, de la puissance de calcul et des applications web. Cependant on ne sait pas encore s'il s'agira d'un Cloud totalement privé ou si le site fera appel à des infrastructures publiques comme celles d'Amazon.

Ce projet n'est quoi qu'il en soit qu'une première étape qui entend pour 2010 mettre en place plusieurs projets pilotes dans l'informatique à la demande. L'année prochaine devrait également être formalisée une politique gouvernementale en matière de sécurité des données, d'architecture et de certification. Le gouvernement espère grâce à ce programme réduire de façon significative les dépenses et l'impact energétique et environnemental causés par les systèmes IT aux Etats-Unis.

- Vidéo de la conférence tenue au centre de la NASA : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/OzSdY

Source:
BE Etats-Unis numéro 177 (18/09/2009) - Ambassade de France aux Etats-Unis / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/60527.htm

vendredi 11 septembre 2009

DSI : un métier en forte évolution

L'enquête Global CIO Study 2009 indique que les DSI déclarent consacrer 55 % de leur temps à des activités liées à l'innovation, contre seulement 45 % aux tâches liées à l'exploitation courante de l'environnement technologique.


- L’exploitation de l’information

L’exploitation de l’information en vue d’acquérir un avantage compétitif et d’améliorer le processus décisionnel est essentiel. Par exemple, les DSI plébiscitent l’informatique décisionnelle à 83% au niveau mondial et 74% en France et la considère comme un moyen privilégié d’optimiser la compétitivité de leur entreprise
- La fiabilité et la sécurité des informations

La fiabilité et la sécurité des informations figurent elles aussi en bonne place dans les préoccupations des DSI : 71 % d’entre eux au niveau mondial (66% en France) prévoient en effet de renforcer leurs investissements dans la gestion des risques et la conformité à la réglementation.


- La relation clients et partenaires

L’étude montre en outre que les clients et les partenaires font partie intégrante de l’équation de l’information, en tant que sources et bénéficiaires immédiats des connaissances générées.

De fait, 68 % des DSI estiment que les interactions avec les clients et les partenaires vont apporter un niveau d'intégration et de transparence sans précédent dans les cinq prochaines années. Cette priorité est encore plus marquée en France puisqu’elle arrive en position N°2 des projets prioritaires avec 72%.

Enfin, les DSI entendent également mener encore plus loin leurs programmes d’économies d’énergie : ils sont 76 % (72% en France) à avoir déjà lancé ou prévu des projets de virtualisation.

Encore un effort dans la direction de la virtualisation infogérée - le SaaS - et les DSI pourront effectivement se consacrer à la gouvernance, à la stratégie d'innovation orientée métier en évitant de se préoccuper au quotidien des problématiques de boulons et d'huile de coude...

jeudi 10 septembre 2009

Quel est votre Plan de Continuité d'Activité

42 % des PME ne sont par préparées pour affronter une difficulté de continuité d'activité telle que celle prévue avec la grippe A, selon les résultats d'une enquête Risc Group-IFOP, et 35% avouent être « assez mal préparés ».

Les risques d'interruption d'activité sont dans cet exemple :

  • l'absentéisme (65%) avec par exemple la fermeture de certaines écoles,
  • les possibles restrictions de déplacement (53%),
  • l'incapacité à assurer la livraison des commandes (48%)
  • une possible obligation de fermeture en cas de risque sanitaire trop élevé (47%)

L'enquête révèle également que les PME s'inquiètent :

  • de la possibilité de défaillance de certains sous-traitants (46%),
  • des difficultés d'approvisionnement auprès des fournisseurs (44%)
  • de la possibilité que l'Etat instaure le chômage partiel dans leur entreprise en cas de risque sanitaire élevé (41%)

La principale solution envisagée est le télétravail.

70% des responsables de PME pensent pouvoir poursuivre leur activité en développant le télétravail. Mais concrètement, on s'aperçoit qu'aujourd'hui moins de 30% sont en mesure de le faire. Quant aux 30% restants, ils avouent être dans l'incapacité totale de mettre en place le télétravail.

« Au final, les dirigeants de PME partagent les perceptions des Français : ils font preuve d'une inquiétude non négligeable vis-à-vis des effets de la grippe A, mais ne semblent pas prendre toute la mesure des éventuelles conséquences de la pandémie. Á cet égard, les solutions qu'ils envisagent pour faire face au virus dans leur entreprise sont avant tout d'ordre sanitaire et concernent peu le maintien de leur activité économique » conclut Frédéric Micheau, Directeur des Etudes de l'Ifop.

Relisez mon billet sur la solution Bureau En Ligne :)

samedi 5 septembre 2009

L'usage incontrôlé d’Internet coûte à l’entreprise en moyenne 5 semaines de congés payés en plus et 2 mois de salaire par an et par employé

Pour la quatrième année consécutive, Olfeo, éditeur d’une passerelle française de sécurité de contenu Internet, vient de réactualiser son étude sur la réalité de l’utilisation du web en entreprise.

Cette année l’étude met en évidence une diminution du temps passé sur Internet au bureau.

Malgré cette diminution globale, le surf personnel représente encore 67% de l’utilisation d’Internet même si celui-ci est en baisse par rapport à 2008 au profit de l’usage professionnel.

Deux facteurs peuvent expliquer ce phénomène :

  • D’une part, le surf personnel au bureau diminue par rapport à 2008 grâce à l’explosion de l’utilisation de Smartphones, qui permettent de consulter les applications personnelles avant d’arriver au bureau, durant le temps de transport par exemple.
  • D’autre part, la multiplication des applications métiers est en forte progression, ce qui explique l’augmentation de la part de l’utilisation d’Internet à usage professionnel.
Les chiffres clés de l'étude (extrait) :
  • En 2009, le temps passé sur Internet au bureau est de 86 minutes, soit une augmentation de 77% depuis 2004.
  • Sur ces 86 minutes, 58 minutes sont à usage non professionnel et 28 minutes à usage professionnel, soit une diminution globale de 4 minutes entre 2008 et 2009.
  • L'utilisation non professionnelle du web représente 4 h 48 par semaine soit 12% de moins qu’en 2008 ou 29 jours par an contre 33 en 2007.
  • Le temps perdu sur Internet représente aujourd’hui une perte de productivité de 13.8% contre 15.7% en 2008.
  • L'utilisation à des fins personnelles d’Internet coûte 2.82 fois le salaire d’un collaborateur par an contre 2 fois en 2008.
  • Aujourd’hui l’usage incontrôlé d’Internet coûte à l’entreprise en moyenne 5 semaines de congés payés en plus et 2 mois de salaire par an et par employé.
Les faits marquants de l’étude (extrait) :
  • Un créneau horaire correspond à un type de surf :
    - 09h00 - 10h00 : consultation de sites d’actualités, webmails et de réseaux sociaux.
    - 11h00 - 12h00 et 14h00 : consultation de sites de divertissement et de détente, tels que le visionnage d’émission de télé, de radios, de vidéos en ligne et des jeux en ligne.
    - 17h00 - 18h00 : consultation de site de service : météo, trafic, pages jaunes…
  • Une consommation d’internet toujours plus interactive avec l’explosion des réseaux sociaux et autres microblogging
  • Une très forte progression de la consultation des vidéos, programme tv et radio en ligne
  • Les sites d’actualité sont toujours les plus visités. Ces catégories sont suivies de très près par les sites de détentes et d’échanges non seulement gourmands en bande passante mais également vecteur de virus, spywares et de divulgation d’informations.
L’ensemble des résultats de l’étude Olfeo* semblent cohérents avec ceux menés par d’autres instituts (Ipsos, TNS Sofres et Médiamétrie).